Affirmation Positive : Peu importe ce que les statistiques disent, je suis une exception à la règle.

Peu importe ce que les statistiques disent, je suis une exception à la règle.

Je ne suis pas limité par des statistiques ; Je suis unique.

Je suis un individu unique dont la valeur est définie par moi, non par la société. Mon statut social, ma santé et mon intelligence sont exactement ce qu’ils sont censés être, et tout fonctionne pour moi. Je suis exceptionnel et je suis une exception à toutes les règles définit par les autres.

La société dit souvent la règle que le fait d’être attrayant(e) égale un manque d’intelligence, mais je suis l’exception à la règle. Je suis attirant(e) et intelligent(e).

Le monde médical essaye de définir des règles concernant la santé; Je suis aussi une exception à ces règles.

Il y a beaucoup de statistiques qui font des suppositions au sujet de la majorité des cas, mais ce que ces stats ne prennent pas en compte le fait que deux personnes ne sont pas exactement semblables. Il y a toujours une exception à la règle.

Même si je rentre dans une statistique spécifique, j’estime toujours que je suis une exception. Je n’aime pas être considéré comme étant la moyenne. Je m’élève au dessus de la masse. Vous ne pouvez pas me caser dans une majorité parce que je me tiens au dehors de la foule.

Je suis, et je serai toujours, l’exception à la règle parce que je ne suis pas fait à partir de matériel quelconque.

Questions de réflexion personnel :

1.      Qu’est ce qui me rend exceptionnel ?

2.      De quelles manières suis-je  une exception à la règle ?

3.      Comment je ressens le fait d’être un exemple positif d’exception ?

Plus d’affirmations positives ICI

  • Clidre dit :

    Bonjour,

    Tolle, Coué, Le Secret et consors sont concernés dans cet article du Courrier de l’Escaut du 6 juillet 2009, p9 :

    Ceci est en lien avec mon article écrit ici :

    http://clidre.skyrock.com/2212862681-Processus-Philemon-questionner-la-pensee-le-daimon-refuser-la-pensee.html

    « La pensée positive : bof … »

    Dans de nombreux livres de coaching censés améliorer notre vie, l’accent est souvent mis sur la pensée positive. Mais, selon le Sunday Times, les messages positifs que les gens tentent d’intégrer [à coups de marteau, quelle
    violence!!] ont, en pratique, souvent un effet négatif.
    « Aujourd’hui est le 1er jour du reste de ma vie » ou « Je vais réussir ». Ce ne sont là que 2 messages + parmi tant d’autres qui, répétés [lavage de cerveau!] régulièrement, doivent permettre de mieux se sentir dans sa peau. Il apparaît à présent que ce genre de messages a un effet inverse sur les gens qui ont une mauvaise d’image d’eux-mêmes. Les messages + ne fonctionnent que si la personne qui les prononce croit réellement que ça va marcher, selon des chercheurs dirigés par Mme Joanne Wood, professeur de psychologie à l’Université de Waterloo au Canada. D’après leur étude, c’est paradoxalement chez les gens qui en auraient le plus besoin que la pensée positive a un effet négatif.
    Selon Wood, « les gens qui ont une faible image d’eux-mêmes et répètent ce genre de messages pensant au fond d’eux que ce n’est pas vrai. Ces sentiments prédominent sur les messages positifs. »

    La pensée positive est donc une psychologie qui renforce le mécanisme de défense du déni.
    La pensée positive est bien là pour renforcer ceux qui ont déjà une estime d’elle-même.
    Ca montre que le lavage de cerveau fonctionne sur les gens qui croient aux messages.
    Y a donc chez les gens qui sont intégrés dans une secte, une partie d’eux qui croit aux messages avant même de les avoir entendus ! Pas si victimes que ça …

  • Franck dit :

    @Clidre – Intéressant ! Cependant je n’ai jamais constaté d’effet négatif, juste neutre dans certain cas où le subconscient est vraiment trop imprégné de négativisme et lorsque que l’on se sert uniquement de l’auto-suggestion. Et même dans c’est cas là, l’hypnose, l’auto hypnose ou encore la visualisation peuvent beaucoup aider.

    Merci pour ta participation Clidre :-).

    Franck – Editeur du site

  • Clidre dit :

    @Franck,

    Merci pour votre retour.
    Ce que je constate qu’il y a une analogie (non une comparaison ou une égalité encore moins une confusion) entre le « lavage de cerveau » utilisé notamment dans des sectes et la pensée positive. Cette dernière si elle s’inscrit dans une démarche d’amour, de non-pouvoir sur l’autre et sur la vie est au service de la Vie. Maintenant, la pensée positive peut être utilisée, récupérée pour servir d’autres intentions où notamment les gens vont être dans le pouvoir sur l’autre. J’invite juste à être conscient de cela : quel est mon intention. Bien à vous, Alex

  • Clidre dit :

    Voici le résumé de mon article de mon blog, mon positionnement :

    Le « Moi » n’est pas créateur des pensées, des émotions, des idées, … Elles viennent. Elles lui tombent dessus. Ils ne lui appartiennent pas. Dans la civilisation occidentale qui ne prend pas en compte l’aspect psychologique, le moi est identifié comme le créateur des pensées, émotions, … alors que Philémon montre à Jung que ce n’est pas le cas : elles sont autonomes comme des arbres d’une forêt. Jung invite à les personnifier. Ainsi, il s’agit non pas d’accueillir la pensée, l’émotion littéralement et à ce qu’elle renvoie : l’image et les prendre comme telles, brutes. Il s’agit de les voir comme des métaphores, de les questionner, de les critiquer et last but not least de les accueillir comme elles sont avec leurs paradoxes (nerf du vivant!), leurs côtés ombres et lumineux pour en toucher la substantifique moëlle c’est-à-dire son esprit et son âme. Les toucher donne non pas une vision unique et littérale mais des visions qui donnent des sens, des spiritualités, des passions. Les toucher permet de leur dire « oui » et « non » à la fois. Un mariage (alchimique!) se produit et « je » se transforme à leurs contacts et c’est le monde qui se transforme. Les prendre littéralement et uniquement ce qui convient au « moi » conduit à la dissociation psychique et à la psychose. Chose que fait la pensée positive dans laquelle s’inscrit Tolle qui ne prend que le côté + et invite à voir QUE positivement. Il s’inscrit lui-même dans une forme de pensée unique où ils posent des certitudes. Je ne vois pas l’ombre d’une question. Je démontre aussi que la pensée + est négative avec la pensée négative … elle n’est pas si positive que cela en fin de compte. D’où mes critiques qui sont sujettes à questions et que je questionne à l’instant encore …

  • Franck dit :

    @Clidre – En effet, c’est une piste de réflexion intéressante. Mais je ne vois pas comment utiliser la pensée positive pour manipuler quelqu’un d’autre… Ce n’est qu’une orientation faite par soi-même de notre propre dialogue intérieur vers le positif. Peut-être aussi un auto « lavage de cerveau » utilisé pour s’améliorer, bien que ce terme ait trop de connotations négatives pour illustrer le concept. Mais à mon sens l’analogie s’arrête là. Maintenant, l’auto-suggestion négative existe aussi. A nous de faire attention à ce que l’on pense…
    Amicalement,
    Franck

  • Clidre dit :

    @Franck : merci :-).

    La manipulation que j’ai vécue par des praticiens PNL pratiquant la pensée positive est d’induire qu’une personne fasse, pense, ressente, imagine quelque chose que le manipulateur veut qu’il fasse, pense, ressente et imagine parce que ça va servir ses intérêts et/ou combler son désir d’avoir du pouvoir. Pour ce faire, il dit que ça sera bon pour moi et m’invite à me le répéter comme en pensée positive. Quelqu’un vient avec un problème, c’est lui suggérer une solution qui ne vient pas d’elle et l’inviter à répéter en langage positif cette solution. Exemple : Une femme a un conflit avec son mari. La praticienne PNL, formée à la méthode Coué, célibataire et féministe convaincue lui dit que la solution est dans le divorce. Elle lui donne alors la prescription suivante, à se répéter tous les jours : « Je vais le quitter, je peux le quitter et je vais être heureuse. » La cliente n’a jamais demandé de quitter et de le quitter. Cette stratégie parle plus de la « thérapeute » que de la cliente.

  • Franck dit :

    @Clidre – Ok. Mais je pense que le problème vient surtout de la mauvaise solution conseillé par le praticien plutôt que de la pensée positive en elle même. Tant que la personne n’accepte pas cette solution comme étant bonne pour elle, elle n’utilisera pas la pensée positive pour travailler dans ce sens. La manipulation se trouverait dans la façon dont le praticien ferait accepter cette solution comme étant valable.

    Ce qui n’empêche pas de demander l’avis de quelqu’un pour avoir des pistes de réflexion avant de trouver soi-même une solution, et peut-être utiliser par la suite la pensée positive ou autres pour s’aider.

    Franck

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